Mon Uc Ga Chien Gion / Top 11 # Xem Nhiều Nhất & Mới Nhất 6/2023 # Top View | Jbth.edu.vn

Éducation Et Dressage Du Chien

L’éducation canine repose sur l’apprentissage des règles de vie dans la maisonnée et au sein de la société humaine. Elle a pour but que le chien soit ” bien élevé ” et se comporte de la façon attendue pour un animal domestique.

Le dressage, destiné à former les chiens d’utilité, lui inculque des comportements ou des réactions stéréotypés pour en faire un auxiliaire efficace de l’homme dans diverses situations.

1. L’éducation

1. 1. Utiliser les bons codes

Jean-Baptiste Greuze, Une jeune enfant qui joue avec un chien François Boucher, l’Obéissance récompensée

Les chiens ne pensent pas comme les humains : ils obéissent aux codes de communication et d’appréhension du monde de leur espèce. S’ils ne reçoivent pas une éducation appropriée, ils ne manqueront pas de développer des comportements en inadéquation avec ceux que leurs maîtres attendent d’un animal de compagnie. Mais si elle est mise en œuvre pour inculquer des règles au chien, une éducation appropriée doit aussi lui fournir un environnement sécurisant (évitant ainsi des réactions intempestives, pouvant aller jusqu’à l’agressivité, liées à l’anxiété). Elle implique que ses maîtres, et de façon générale tous les humains de son entourage, le respecte dans son intégrité et ses peurs.

Les centres d’éducation canine et les professionnels indépendants peuvent fournir conseils et/ou aide pour élever les chiens. Éducateurs et vétérinaires comportementalistes peuvent quant à eux être consultés en cas de mauvaises habitudes installées. Ils interviennent aussi si le chien a développé des troubles du comportement (découlant par exemple d’un traumatisme).

1. 2. Quelques principes éducatifs de base

1. 2. 1. Cohérence

Le chien descend du loup, qui vit en meutes hiérarchisées : c’est un animal social, qui a besoin d’une place établie sans équivoque dans le groupe qu’il forme avec son ou ses maîtres. Ses ” droits et devoirs ” doivent donc être clairs, et jamais contradictoires. Par exemple, un chiot, sous prétexte qu’il est petit, ne doit pas être autorisé à aller dans certaines pièces qui lui seront interdites dès qu’il aura grandi.

1. 2. 2. Sécurisation

Un chien qui ne se sent pas menacé – ou simplement importuné – n’a pas besoin de se défendre ou de défendre son territoire ou sa nourriture.

Ainsi, idéalement, le chien doit pouvoir bénéficier d’une zone à lui (généralement le coin où se trouve son panier) où il puisse se réfugier ou dormir au calme, un territoire dans lequel personne ne peut le déranger.

Pour ne pas qu’il soit tenté de protéger sa nourriture (même si certains chiens montrent moins d’anxiété que d’autres sur cette question), le chien doit pouvoir prendre ses repas seul et au calme. Contrairement à une idée répandue, il ne faut surtout pas lui retirer sa gamelle ou mettre les mains dedans pour ” lui montrer qui est le chef “.

Pour éviter qu’il ait peur de la solitude et réagisse à cette situation en ” hurlant à la mort ” ou en commettant des dégradations dans la maison, le chiot doit apprendre à rester seul. C’est au maître de résister à l’envie de le cajoler en permanence et de ne pas répondre à toutes ses sollicitations. Le fait de le laisser seul quelques minutes dans une pièce ou de parfois l’ignorer lui apprend à se sentir en sécurité même si personne ne s’occupe de lui.

1. 2. 3. Hiérarchisation

Le chien qui n’est pas encadré par des règles fermes et cohérentes prendra, selon ses codes, la place de chef de la meute. Il deviendra alors impossible de s’en faire obéir. Il est par exemple déconseillé de le laisser s’installer sur le canapé ou le lit : dès que l’on voudra l’en déloger pour s’y installer, il ne pourra le comprendre que comme une atteinte à ses privilèges (donc une provocation, voire une agression). Certaines pièces doivent également lui être interdites. En laisse, il ne doit pas mener la marche, mais rester derrière son maître.

1. 2. 4. Fermeté et encouragements

Des félicitations (caresses, encouragements) et une récompense (jouet, friandise) reçues quand le chien a réalisé ce qu’on attend de lui renforcera ce comportement. La réprimande en cas de bêtise est en revanche à utiliser avec modération – un ” non ” prononcé d’une voix ferme est préférable -, et en tout cas jamais si le chien n’est pas pris sur le fait car, a posteriori, il ne comprendra pas ce qui lui vaut le mécontentement de son maître. Surpris à faire ses besoins dans la maison, il doit aussitôt être conduit dehors, et félicité s’il y fait ses besoins. Pour cette raison, un chiot doit être sorti le plus souvent possible : il associera ainsi rapidement les félicitations et le fait de faire ses besoins dehors, et deviendra plus vite propre. Mais s’il fait par accident ses besoins à l’intérieur, l’ignorer sera plus efficace que le gronder.

Selon le même principe de félicitations/récompense en cas de réussite, on peut apprendre au chien à obéir à quelques ordres simples (” au pied “, ” assis “, ” couché “, ” debout “…), à répondre à son nom et à revenir quand on l’appelle.

Dans tous les cas, toute brutalité, voire violence, envers le chien (dans la voix ou les gestes) est à proscrire. Elle génère de l’anxiété et, potentiellement, de l’agressivité.

1. 2. 5. Respect du chien et des codes canins

Il ne faut pas attendre d’un chien qu’il ait des réactions humaines ou comprenne nos codes. C’est aux humains à connaître les codes des chiens et à adapter leurs demandes et comportements. Ainsi, il ne faut pas laisser de la nourriture ” abandonnée ” à sa portée (un poulet rôti sur la table, par exemple) : selon ses codes, toute nourriture délaissée par le chef de meute peut être consommée. Il est alors inutile (et injuste) de le punir : il n’a pas volé, il a simplement pris la nourriture à laquelle il pensait avoir droit.

De même, le chien ne sait pas résister à la tentation de la nourriture. Pour éviter qu’il en mendie ou saute pour en prendre un morceau, il vaut mieux que la cuisine lui soit interdite, ou que les repas (les siens et ceux de la famille) soit préparés et pris hors de sa présence.

Un chien peut également être amené à mal interpréter diverses attitudes humaines, et à ressentir le besoin de se défendre en mordant (→ chien). C’est pourquoi tous les membres de la famille – surtout les enfants – doivent être sensibilisés au fait qu’il ne faut pas déranger un chien qui mange ou qui dort, ne pas arriver vers lui en courant, ne pas lui prendre ses jouets quand il les a en gueule, ne pas le ” martyriser ” sous prétexte qu’il est ” gentil ” et patient, etc. Une éducation des maîtres qui diminue de façon considérable les risques de morsures…

1. 2. 6. Socialisation

En tant qu’animal social, le chien a besoin de contacts – avec des humains et si possible avec d’autres chiens – pour se développer de façon harmonieuse. Laissé seul toute la journée, attaché dans le jardin ou enfermé dans une pièce, un chien développe des comportements anxieux et agressifs.

2. Le dressage

2. 1. Principe

Dresser un chien, c’est lui apprendre à exécuter des ordres ou à effectuer certains actes dans certaines circonstances. Les séances sont courtes mais répétitives, et fondées sur le conditionnement et le renforcement positif : le chien associe la bonne réalisation d’un acte à des félicitations chaleureuses et une récompense (balle pour jouer, boudin à mordre, friandise dans certains cas… ainsi que caresses du maître ou de l’éducateur). Peu à peu, la difficulté des exercices est augmentée, jusqu’à ce que le chien soit opérationnel. En cas de non réussite, la simple absence de récompense est préférée à la réprimande. Dans tous les cas, la brutalité est à proscrire.

Les séances d’entraînement doivent relever du jeu, et ne jamais se conclure sur un échec : c’est la recherche de la récompense qui motive le chien à faire ce qu’on attend de lui – pas le sens du devoir ni l’instinct. Une bonne éducation de base est une condition sine qua non au démarrage d’un dressage.

Certains particuliers choisissent de dresser eux-mêmes leur chien d’utilité (chien de chasse, de garde). Mais de façon générale, il est conseillé de toujours faire appel à un professionnel, car des erreurs de dressage peuvent entraîner des problèmes d’agressivité chez le chien, avec les risques de morsures associés. Il est en général possible aux maîtres de participer aux séances de dressage et, ainsi, de dresser leur chien en compagnie de l’éducateur.

Le cas du dressage dit ” au mordant ” (le chien mord sur ordre, le plus fort possible, et ne lâche prise que sur ordre) est à part : interdit aux particuliers, il ne peut être pratiqué (article L. 211-8 du Code rural) que par des associations agréées et dans certains cas précis (” sélection des chiens de race dans le cadre d’épreuves de travail ” et ” dressage et entraînement des chiens utilisés dans les activités de gardiennage, surveillance ou transport de fonds “).

2. 2. Le dressage professionnel des chiens d’utilité

Le dressage est un vrai programme de formation, qui a pour but d’aboutir au renforcement d’un ensemble d’aptitudes et à la réalisation de divers comportements, dessinant un vrai ” métier ” (→ chiens d’utilité).

La formation, qui commence souvent dans la première année du chien, peut durer de quelques semaines ou mois (chiens de chasse, de berger) jusqu’à 18 à 24 mois (chiens sauveteurs, chiens guides d’aveugle, chiens d’assistance pour handicapés moteurs…), ou même plus (entraînements supplémentaires pour les chiens sauveteurs par exemple). Elle peut être suivie dans des clubs ou des centres d’éducation canins (chiens de chasse, de garde, chiens truffiers…) ou dans des écoles spécialisées (chiens guides d’aveugle). Les chiens utilisés par la police et l’armée sont dressés au sein de ces institutions, par les maîtres-chiens avec lesquels ils feront équipe toute leur carrière. Dans le cas des chiens de sauvetage, c’est une équipe homme-chien préexistante qui est sélectionnée pour une formation commune.

Apprendre À Son Chien À Ne Pas Mordre

Mis à jour le 27 janvier 2017

Lui apprendre à ne pas mordre

Apprendre à son chien à ne pas mordre se fait dès le plus jeune âge. Il existe plusieurs manières de faire et cet apprentissage est primordial.

Éduquer le chiot

Un chiot mord pour de multiples raisons, pour jouer, pour se défendre, parce qu’il a mal aux dents, etc. La première règle est de lui apprendre ce que l’on appelle l’inhibition à la morsure, c’est-à-dire de prendre conscience de la force de sa mâchoire et que le fait de mordre peut faire mal. En collectivité, il y a de fortes chances que, mordu par un autre chiot, il s’en rende compte par lui-même ! Une technique consiste, lorsque l’on joue avec lui avec les mains et qu’il mord, à pousser un gémissement aigu ou à lui ordonner d’arrêter. Si le chiot continue, arrêtez le jeu et ignorez l’animal. Il est également possible de glisser son jouet préféré dans la gueule du chiot, de l’attacher quelques minutes avec sa laisse dans un coin tranquille, ou encore de glisser son pouce sous la langue de l’animal et un autre doigt sous le menton puis de tenir quelques secondes sans serrer.

Répulsifs et autres astuces

L’idée générale est d’associer la morsure avec quelque chose de désagréable, et, au contraire, le self contrôle à quelque chose d’agréable, ne soyez pas avare en friandise ! Certaines personnes utilisent des répulsifs sur les mains et les vêtements, mais en associant une substance désagréable à son maître, le chien risque d’être beaucoup moins demandeur en câlins. Un répulsif sur des gants peut être une solution… si le chien ne fait pas de lui-même l’association ! Une autre astuce consiste à remplir une canette vide de cailloux ou de pièces de monnaie et à la secouer dès que le chien mord trop fort. Il déteste ce genre de bruits.

Un chien ne mord que rarement au hasard, comprenez par là qu’il y a toujours une raison. D’ailleurs, généralement, le chien émet d’abord un avertissement sous forme de grognements face à ce qu’il considère comme une menace. Les causes sont multiples : le chien peut avoir peur, mal, ne pas maîtriser un changement dans les relations sociales… S’il se sent menacé mais que ce qui l’agresse ou lui fait peur est inatteignable, un chien peut aussi mordre la première personne dans les environs.

En cas de morsure, il est donc essentiel de réfléchir aux raisons qui ont poussé le chien à agir de la sorte. Il s’agit ensuite de travailler avec l’animal et de le rééduquer, si besoin en se faisant aider par un professionnel. Premier objectif : lui montrer clairement qui domine, vous et tous les autres membres de la famille. Le chien mange seul et après tout le monde, dort dans son couchage et pas dans la chambre, ne décide pas de manière générale…

S’il a mordu un visiteur, il est nécessaire de lui apprendre le territoire et que les passages sur ledit territoire sont une chose normale. Et ce, en le maintenant derrière soi en présence d’une autre personne. Ces expériences sont bien entendu à renouveler jusqu’à ce que le comportement du chien change.

La loi face aux morsures

On ne parle pas ici du chiot qui mordille sans avoir conscience de la force de ses mâchoires, mais d’une vraie morsure. La loi et plus précisément le code rural (article L223-10) oblige les propriétaires du chien à déclarer dans les 24 heures toute morsure d’une personne à la mairie de sa commune de résidence. L’animal est alors placé sous surveillance vétérinaire pendant quinze jours. Sauf en cas de propriétaire défaillant, il faut présenter son chien trois fois durant cette période au même vétérinaire sanitaire. En outre, il n’est pas possible de faire euthanasier l’animal sans l’accord des services vétérinaires. Dans les départements où il peut y avoir des cas de rage, cette surveillance s’applique également si le chien a mordu ou griffé un autre animal. Dans tous les cas, le code rural (article L211-14-2) exige une évaluation comportementale du chien. Ses maîtres peuvent ensuite être obligés de suivre une formation dite d’aptitude. Une personne qui ne se conforme pas à ces obligations légales est susceptible de se voir retirer son chien par le maire ou le préfet.

Ne pas chercher la morsure : Il y a des moments dans la vie du chien à respecter, sous peine de risquer la morsure. Il convient donc de le laisser tranquille quand il dort, quand il s’isole dans son couchage, quand il mange et, d’une manière générale, quand il a quelque chose dans la gueule. Dr Elisabeth Tané, vétérinaire.

Mis à jour le 27 janvier 2017

Révision médicale : 27/01/2017

Dépression Et Tristesse Chez Le Chien : Comment Se Manifeste

La dépression est une maladie qui peut toucher le chien. Celui-ci manifeste certains symptômes et une profonde tristesse. Néanmoins, ces signes peuvent également masquer une maladie ou une autre pathologie, raison pour laquelle il est important de consulter le vétérinaire au moindre changement de comportement. Découvrez les symptômes que le chien manifeste en cas de dépression, mais également ses causes et les moyens de la soulager.

Comparateur Assurance Chien ! Gratuit et sans engagement !

Quels sont les symptômes de la dépression chez le chien ?

Lorsque votre chien est déprimé, son comportement change. Vous pourrez constater ses évolutions en observant la manière dont il se comporte et agit. D’une manière générale, sachez que tout changement d’humeur ou de comportement chez un toutou n’est pas normal et signifie que quelque chose ne va pas.

Les principaux signes de la dépression canine sont les suivants :

Un changement d’appétit : le chien déprimé change d’appétit. Selon son caractère, il peut cesser de s’alimenter ou au contraire se mettre à manger en grande quantité et de manière compulsive.

Son sommeil se modifie : un chien adulte a besoin de 12 à 14 heures de sommeil par jour. Un chien déprimé se sent en revanche plus fatigué et se met à dormir comme le ferait un chiot, soit 18 à 20 heures par jour.

Il se cache : un chien dépressif a tendance à s’isoler. Il cherche un endroit où être seul et évite la présence de ses proches. Lorsqu’il est déprimé, il n’a plus envie de jouer ni de sortir ; il peut également se montrer triste.

Il se lèche les pattes : le léchage des pattes est le signe d’un trouble important lié à la dépression et à l’anxiété. En revanche, ce comportement peut également être lié à des maladies diverses, comme de l’eczéma, une infection bactérienne ou des douleurs articulaires.

L’anxiété de la séparation : le chien déprimé souffre de votre absence et peut se mettre à gémir ou à faire des bêtises lorsque vous partez.

Les pleurs et les soupirs : un chien dépressif a tendance à pleurer en émettant des gémissements et à soupirer. Il manifeste ainsi sa tristesse.

Les bêtises : il se peut que votre animal cherche à attirer votre attention pour vous alerter de son trouble. Dans ce cas, il peut faire ses besoins dans la maison ou bien trouver toutes les bêtises possibles, notamment en détruisant certains objets de votre intérieur.

Bien évidemment, les symptômes de la dépression varient d’un chien à l’autre, mais tout changement est un signe que quelque chose ne va pas et doit vous alerter. Les symptômes de la dépression sont communs à d’autres troubles et pathologies, raison pour laquelle il est préférable de consulter un vétérinaire avant de vous dire tout de suite que votre animal déprime. Le praticien cherchera avant tout à éliminer le risque de maladie avant d’envisager une dépression.

Quelles sont les causes de la dépression chez le chien ?

Comme chez l’homme, la dépression peut avoir plusieurs causes chez le chien. En effet, les toutous ont un caractère qui leur est propre et sont sensibles à certains points plus qu’à d’autres.

Voici les principaux facteurs identifiés susceptibles de déclencher une dépression chez le chien :

Un déménagement : le chien, à l’instar du chat, apprécie la routine pour son aspect rassurant et sécurisant. Un déménagement peut donc le perturber, même si vous vous installez dans une maison plus grande et dotée d’un vaste jardin. En effet, le chien se sent troublé de ne plus disposer de ses cachettes et de ses petits coins bien à lui. En revanche, ce type de déprime dure généralement peu de temps, car l’animal finit par s’habituer, rassuré progressivement par votre présence.

La perte d’un proche : le chien ressent de la peine, comme nous en cas de perte d’un proche. Qu’il s’agisse d’un décès ou d’une séparation, l’animal est perturbé et chagriné par ce déséquilibre.

L’arrivée d’un nouvel animal de compagnie dans le foyer : votre chien peut se sentir perturbé par l’arrivée d’un nouvel animal au sein de votre foyer. Il peut se sentir jaloux ou peiné de vous voir consacrer du temps à un autre que lui. Néanmoins, le chien étant un animal naturellement sociable, ce type de dépression ne dure pas.

L’arrivée d’un nouveau membre dans la famille : votre chien peut être perturbé par l’arrivée d’une nouvelle personne dans votre famille. Il peut s’agir d’un bébé, mais également d’un nouveau conjoint ou d’un colocataire. Il peut se montrer jaloux ou triste, comme pour l’intrusion d’un nouvel animal, mais ce comportement ne dure pas ; en effet, votre chien nouera rapidement des liens forts avec ce nouveau venu.

Un changement d’emploi du temps : certains chiens ont beaucoup de mal à s’adapter à votre absence lorsque vous partez travailler ou que vous vaquez à vos occupations. Si en plus vous modifiez votre emploi du temps et que vos horaires changent, il peut se sentir déprimé de ne plus jouer, être nourri ou sortir à ses heures habituelles.

Une mise en pension : lorsque vous partez en vacances, vous pouvez confier votre chien à un proche ou le placer temporairement en pension. Malgré le caractère non permanent de cette garde, votre animal peut se sentir perturbé par votre absence et déprimer. Généralement, il s’inquiète pour vous et vous recherche.

La perception de votre dépression : si vous-même êtes déprimé ou si l’un des membres de votre foyer l’est, votre animal peut ressentir une forme d’empathie et éprouver une profonde tristesse, en imitation de vos sensations.

Que faire en cas de dépression chez le chien ?

La première chose à faire est de consulter le vétérinaire. Ne cherchez pas à agir par vous-même, car, comme nous l’avons dit précédemment, les symptômes de la dépression peuvent masquer un trouble caché ou une maladie plus profonde.

Lorsque la dépression est diagnostiquée, voici nos conseils pour la soulager et apaiser la tristesse de votre chien.

Les actions que vous pouvez effectuer

Les caresses : votre animal a besoin d’attention. Montrez-vous plus doux et affectueux, plus patient et compréhensif. Complimentez-le, gratouillez-le et caressez-le plus souvent, toutefois sans exagération, car votre toutou a besoin de sa tranquillité et de son espace.

Le jeu : le jeu est un bon moyen pour aider votre animal, car toute activité lui permet de sécréter des endorphines, les hormones de la bonne humeur. En outre, vous renforcez votre lien et vous lui consacrez du temps, ce qui est important pour son bien-être.

Évitez le vide : si votre chien est dépressif à la suite de la perte d’un autre animal de votre foyer, vous pouvez en adopter un autre pour combler le vide. Assurez-vous toutefois au préalable d’être capable de vous en occuper. Néanmoins, sachez que pour vous comme pour votre toutou, aucun autre animal ne peut remplacer celui qui a disparu. Certains chiens restent déprimés, mais de nouveaux liens peuvent se tisser et soulager votre animal.

Les remèdes naturels

Si votre animal reste déprimé malgré tout, vous pouvez envisager de lui donner un remède naturel, notamment homéopathique. Votre vétérinaire peut mettre en place ce type de traitement doux pour améliorer le bien-être de votre chien.

Les remèdes médicamenteux

Il existe plusieurs traitements médicamenteux pour soulager la dépression chez le chien lorsque les solutions précédentes ne fonctionnement pas. Ils peuvent être prescrits par votre vétérinaire sur ordonnance. Néanmoins, sachez que les effets secondaires indésirables ne sont pas rares, raison pour laquelle il est déconseillé de se tourner d’emblée vers ces solutions.

Parmi ces traitements, on peut citer l’Amitriptyline, la Doxépine ou la Fluoxétine.

Mon Ex Veut Se Venger

Une séparation est toujours difficile à accepter, surtout lorsqu’elle est subie.

L’ex quitté peut alors entrer dans une colère noire et vouloir se venger coûte que coûte.

Pourquoi mon ex veut se venger ? Jusqu’où peut-il aller et puis-je l’empêcher de me faire du mal ?

Je vous aide aujourd’hui à trouver des solutions pour repousser celui/celle qui tente de vous détruire psychologiquement.

Mon ex veut se venger car la rupture a été brutale

Vous avez quitté votre ex sans ménagement, du jour au lendemain ? Il est normal que votre ex soit en colère.

” Mon ex veut se venger, elle me menace en disant qu’il va m’arriver quelque chose de grave. Honnêtement, je suis pas rassuré ! “

Pas de panique toutefois, si la séparation est récente, votre ex devrait vite se remettre de ses émotions et passer à autre chose.

Souvent, lorsque l’on apprend que l’on est quitté, on passe par plusieurs stades dont celui de la haine (parfois exprimée sous forme de désir de vengeance par certains).

Viendront ensuite la tristesse, la remise en question puis l’acceptation.

S’il ne passe pas le stade de la colère au bout d’un certain temps, il vous faudra chercher à comprendre pourquoi votre ex vous hait.

Mon ex me déteste car je l’ai trompé

La plupart des ex qui veulent se venger sont des ex qui se sentent humiliés.

Si vous avez été infidèle avec votre ex, il n’est pas étonnant qu’il veuille se venger (même si ce n’est pas une attitude que nous approuvons !).

Votre ex a beaucoup souffert, il doit aujourd’hui extérioriser sa peine d’une manière ou d’une autre.

” Mon ex veut se venger de moi car je l’ai trompée avec une femme que j’ai ramené à la maison, dans le lit conjugal. Je comprends sa peine et sa haine mais je trouve qu’elle a des réactions excessives, elle veut me provoquer et me menace de m’enlever la garde des enfants. “

Quand certains vont se mettre au revenge body, se lancer dans des projets humanitaires ou s’investir à fond dans leur travail, d’autres vont tenter de se venger en détruisant leur ex.

Le temps et les excuses seront vos seules armes pour vous faire pardonner une trahison et une humiliation.

Si vous avez du mal à tenir psychologiquement, je vous conseille de discuter avec l’un de nos coachs/psychologues.

Mon ex me fait culpabiliser

Quoi de plus humain que de vouloir se mettre en avant en rejetant la faute sur l’autre lorsqu’on est blessé ?

Je t’ai tout donné et tu m’as humilié(e) ;

Je t’aimais, je t’ai fait confiance et tu m’as trahi(e) ;

Que vont penser les enfants de tes réactions ? Tu n’as pas honte ?

Je t’étais totalement dévoué(e), tout ça pour que tu me largues !

Tu me laisses totalement démuni(e), sans toi je suis à la rue ;

Sans toi je n’ai plus de raison de vivre…

Votre ex a été blessé dans son amour propre, vous l’avez quitté et il veut se venger avec les armes qu’il a en sa possession.

” Mon ex veut se venger et me dit qu’il va se suicider si je ne reviens pas. Il me fait culpabiliser tous les jours en disant que je pleurerai sur sa tombe mais que ce sera trop tard, etc. “

Un ex vexé va donc tout mettre en oeuvre pour faire culpabiliser l’autre avec des phrases du type :

L’ ex qui fait culpabiliser est un ex qui a besoin d’attention.

Donnez-lui ce dont il/elle a besoin (être à ses côtés, l’écouter, etc.) et voyez sa réaction.

En principe, l’ex n’en aura jamais assez, il/elle en voudra toujours plus.

Vous pourrez alors lister vos efforts afin de lui prouver que vous avez tout fait pour vous rattraper.

” Pour se venger de moi, mon ex n’a rien trouvé de mieux à faire que de m’humilier en public ! Au mariage d’amis commun, elle a pris la parole pour féliciter les mariés et en a profité pour glisser dans son discours que j’avais une petit ” hum ” (hors sujet en plus !). Elle est aussi venue hurler dans les locaux de ma boîte, devant mes employés, en disant que j’étais bordélique, que j’étais radins, etc. Elle s’est aussi mise à crier un jour devant la crèche. Bref, elle n’arrête pas de me faire honte depuis que j’ai rompu, je ne sais pas quoi faire pour la calmer. “

Si votre ex ne se calme pas et continue à vouloir se venger en vous jetant des méchancetés au visage, alors, la meilleure chose à faire sera de s’éloigner quelque temps (attendez-vous à des missives du genre ” alors tu fuis ! tu n’assumes rien ? “. Etc).

Un conseil : laissez couler et ne vous énervez pas car c’est ce qu’il/elle espère !

Mon ex veut m’humilier

Parfois sans en prendre conscience, l’ex veut détruire quelqu’un psychologiquement pour se libérer de sa colère.

Cela tombe généralement sur son ex.

Attention, veillez à ce que cette colère ne soit pas rejetée sur les enfants (cela peut arriver !).

Heureusement, ce comportement excessif, à la limite de l’hystérie ne dure pas longtemps.

” Mon ex veut se venger et n’a rien trouvé de mieux que de m’enlever la garde des enfants. Comme mon travail est beaucoup plus prenant (beaucoup de déplacements) et que c’est elle qui s’en occupait le plus, elle a réussi à obtenir un max d’avantages. Je suis malheureux. “

Même si vous n’en avez aucune envie, vous pouvez tenter de calmer cette personne en la prenant dans vos bras et en lui disant que vous êtes là pour elle, qu’elle est importante à vos yeux et que vous aimeriez entretenir une relation plus saine.

Inutile de faire cela en pleine crise d’hystérie, il faut réussir à revoir la personne à un moment calme, chez elle par exemple, lorsqu’il n’y a pas trop de témoins.

Votre objectif : apaiser les tensions et ne surtout pas les entretenir avec des réflexions agaçantes comme ” tu es complètement fou/folle ! “, ” va-t-en espèce d’hystérique ! ” ou encore ” c’est ça, fais ta victime, ça t’a toujours réussi ! “

Mon ex veut m’enlever la garde des enfants

Quoi de plus banal que de prendre en otages les enfants pour se venger de son ex ?

Quand la rage dure car la rupture a été trop douloureuse, l’ex peut prendre des décisions importantes, qui auront un impact sur l’avenir de toute la famille.

” Mon ex veut me rendre jalouse. Depuis que je l’ai quitté, il n’arrête pas de partager des photos très intimes avec sa next sur les réseaux sociaux. Je pense que c’est sa manière de se venger, sauf que je ne l’aime plus et ça ne me fait ni chaud ni froid ! “

Votre ex veut vous retirer la garde des enfants (comme Angelina Jolie avec Brad Pitt) ?

Ne laissez pas les problèmes d’adultes gâcher la vie de vos enfants.

Protégez-les, gardez votre calme et renseignez-vous sur vos droits auprès de personnes compétentes.

Surtout, ne paniquez pas, vos enfants grandiront et seront un jour en âge de comprendre, vous aurez alors tout le temps de vous rattraper, même si votre ex dit du mal de vous et tente de les éloigner en vous critiquant sans cesse.

Provoquer la jalousie pour se venger de son ex

Antoine Peytavin

A force d’agiter les bras, de lancer des critiques, de tenter des messages d’insultes ou de pratiquer le vaudou, certains ex se fatiguent et ne trouvent rien de mieux que d’essayer de rendre l’autre jaloux.

Entreprise vaine lorsque cette technique est mal utilisée, trop provocatrice et peut convaincante.

Statut Facebook modifié (de ” célibataire ” à ” en couple “), photos romantiques, élans lyriques sur son soit disant bonheur d’avoir trouvé l’âme sœur…

Est-ce que cela vous fait du mal ou trouvez-vous son attitude pathétique ? Certainement la deuxième option.

Dans ce cas, bonne nouvelle : votre ex tente de se venger mais ça ne fonctionne pas !

Bon courage à tous et pour récupérer son ex qui veut se venger, je vous invite à parcourir le site ainsi que notre chaîne Youtube !

Et pour vous :