Mon Garde Du Corps Gacha Life / Top 6 # Xem Nhiều Nhất & Mới Nhất 6/2023 # Top View | Jbth.edu.vn

A Quoi Ressemble La Vie Des Gardes Du Corps ?

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Les gardes du corps ne sont pas toujours des super-héros. Entre atermoiements, dangers du métier et salaires pas toujours à la hauteur, rencontre avec des “surhommes” en plein doute.

1 350 policiers

les effectifs du Service de la protection de la police nationale en 2015

2 500 à 3 000 €

le salaire mensuel moyen d’un bodyguard en France

Depuis Bodyguard, le film dans lequel Kevin Costner s’occupait de la garde très rapprochée des courbes d’une Whitney Houston encore sublime, le métier de garde du corps est l’objet de tous les fantasmes. On les imagine invincibles, durs comme l’acier et vivant à 100 à l’heure aux côtés de personnalités passionnantes. Mais leur quotidien n’est pas si rose. “Franchement, on ne s’occupe pas que de filles sublimes dans des endroits de rêve”, explique Marc*, un agent de sécurité rapprochée qui souhaite conserver l’anonymat. “La plupart du temps, on porte des paquets, on s’ennuie à mourir dans des journées épuisantes nerveusement car on doit rester en permanence en alerte !”, poursuit son collègue Carl*. Le salaire de base, qui tourne autour de 2 500 euros par mois pour un professionnel confirmé, ne parvient pas à faire oublier les difficultés du métier. Même si les meilleurs, comme ceux qui assurent la sécurité de stars hollywoodiennes ou de magnats russes et chinois, peuvent gagner plus de 15 000 euros par mois. Des exceptions dans un milieu où l’ordinaire est heureusement amélioré par des pourboires conséquents. “Quand je m’occupe d’un homme d’affaires pendant ses vacances sur la Côte, explique Marc, je peux recevoir une enveloppe avec 1 500/2 000 euros en liquide à la fin du séjour. Mais pour cela, il faut avoir été irréprochable et disponible 24 heures sur 24 !”

20 000 €

le salaire mensuel du bodyguard attitré d’une star mondiale

700 personnalités

protégées par Bodyguard Group of Beverly Hills, la société de Kris Herzog

Hausse de 30 % des demandes de protection

Depuis les attaques terroristes, la demande en protection rapprochée a augmenté de plus de 30 %, selon les acteurs du secteur, mais les salaires n’ont pas suivi. Sans doute parce qu’en France, le marché est très morcelé, regroupant une multitude de petites structures indépendantes. Securitas, le géant suédois, numéro un mondial de la sécurité privée, dispose bien d’une offre de gardes du corps, au sein de Securitas Risk Management. Mais cette division ne représentait que 3,5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2015, une paille dans les 630 millions d’euros réalisés par l’entreprise en France, principalement dans le gardiennage, la sécurité des entreprises et des aéroports. Selon certains professionnels, les multinationales du secteur hésitent à développer cette activité en France car la législation y est plutôt contraignante. en effet, dans l’Hexagone, pour exercer cette profession, il faut absolument obtenir la carte professionnelle d’agent de protection physique des personnes délivrée par le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps). Elle doit être renouvelée tous les cinq ans. Le bodyguard est obligé de suivre des formations reconnues et, surtout, d’afficher un casier judiciaire vierge. Il ne dispose d’aucun pouvoir de police, contrairement aux agents que l’État fournit à certaines personnalités ayant fait l’objet de menaces. La police nationale dispose de son propre service de bodyguards avec des agents regroupés dans le fameux SDLP (Service de la protection, qui a remplacé en 2013 le Service de protection des hautes personnalités), tout comme la gendarmerie avec son Groupe de protection des personnalités.“Ce sont les seigneurs du métier, explique Marc. Mais ce sont des fonctionnaires de police et leurs salaires sont plafonnés. C’est sans doute pour cela que beaucoup ouvrent leur propre structure après quelques années de carrière.”

Armes de poing et fusils d’assaut

Aux États-Unis, les anciens agents du FBI ou de la CIA intègrent aussi des structures privées qui sont de taille bien plus importante comme Praetorian Bodyguard ou World Protection Group. S’ils veulent travailler avec des people, ils rejoignent Kris Herzog, le pape des bodyguards. Patron du Bodyguard Group of Beverly Hills, avec ses éternelles lunettes noires et sa bedaine de buveur de bière, l’homme ne ressemble pas vraiment à Kevin Costner. Sauf que toutes les stars d’Hollywood ne jurent que par lui et ses équipes de molosses armés jusqu’aux dents payés jusqu’à 20 000 euros par mois. Car aux États-Unis, les bodyguards gagnent très bien leur vie et ont souvent des armes de poing sous leurs costumes et des fusils d’assaut dans le coffre de leurs 4 x 4.“Ce sont des cowboys, on ne fait pas le même métier, précise Carl. Ils se prennent pour des vedettes alors que sans leurs guns, ils ne sont rien…” aux États-Unis, les gardes du corps peuvent parfois devenir des people comme les autres. Pascal Duvier, le bodyguard de la très distinguée Kim Kardashian, est de ceux-là. 1,94 m, 120 kg de muscles, cet expert ès arts martiaux d’origine allemande a protégé pendant des années la starlette de téléréalité et son mari, le rappeur Kanye West. En septembre dernier, il a prouvé toute sa vivacité en parvenant à maîtriser Vitalii Sediuk, un illuminé qui tente par tous les moyens d’embrasser les fesses des stars en public. La vidéo de l’intervention musclée a fait le tour du monde et Pascal Duvier est devenu une star. Mais quelques heures plus tard, absent lorsque Kim Kardashian s’est fait dérober pour plus de 9 millions d’euros de bijoux dans un hôtel parisien, il est tombé de son piédestal. Et a ni par être renvoyé, début novembre. “Au moindre problème, c’est toujours le garde du corps qui trinque, précise Carl. Alors que tout le problème vient du choix de l’hôtel et surtout de l’inconscience de se promener avec autant de bijoux !” Selon les professionnels que nous avons rencontrés, un bodyguard vit toujours sur un fil, dans un monde toujours plus violent et où les paparazzi sont finalement aussi dangereux que les agresseurs. Le garde du corps doit protéger son client des agressions, des photos, mais aussi de lui-même, puisqu’il est censé tout connaître de sa vie. “Les équipes de nos clients les plus célèbres ou les plus riches nous font signer des clauses de confidentialité très contraignantes, précise Marc. La discrétion est la règle numéro un de notre métier, car nous apprenons tellement de choses sur la vie privée de nos clients que certains pourraient être tentés de monnayer des infos.” L’homme sait des choses, mais ne dira jamais rien. Pour des raisons juridiques, bien entendu, mais aussi et surtout parce qu’il sait que le secret est au cœur de son métier. Pour qu’un garde du corps soit efficace, il faut que son client lui fasse une confiance absolue. Il ne doit rien lui cacher et ne pas craindre de lui montrer toutes les facettes de sa personnalité, même les plus sombres. “Mais il faut arrêter de fantasmer, précise-t-il. Dans l’immense majorité des cas, nous protégeons des personnes qui ont une vie privée tout à fait banale !”

“Pour des raisons juridiques, bien entendu, mais aussi et surtout parce que [le bodyguard] sait que le secret est au cœur de son métier. Pour qu’un garde du corps soit efficace, il faut que son client lui fasse une confiance absolue. Il ne doit rien lui cacher et ne pas craindre de lui montrer toutes les facettes de sa personnalité, même les plus sombres.”

Romances et rapprochements

Pourtant, dans les colonnes des journaux people, les dérapages de gardes du corps ou les romances qu’ils vivent parfois avec leurs clients alimentent souvent la chronique. “Au quotidien, il y a une proximité qui va souvent jusqu’à la promiscuité, poursuit le garde du corps. Nous sommes toujours aux côtés de nos clients, la nuit, au petit matin, dans les bons comme dans les mauvais moments. C’est normal qu’il y ait parfois des rapprochementsments…” Chez les bodyguards, on se raconte souvent l’histoire de la princesse Diana qui aurait eu, en 1985, une aventure avec son garde du corps, Barry Mannakee, sergent de la Royal Protection Unit de Scotland yard. Folle de lui, elle aurait pensé à quitter le prince Charles mais les services secrets seront plus rapides. Le garde du corps a été remplacé, puis a trouvé la mort, quelque temps plus tard, dans des circonstances étranges. Daniel Ducruet, lui, n’a pas été assassiné, mais neutralisé médiatiquement. Garde du corps attitré de la princesse Stéphanie de Monaco, il l’a séduite, lui a fait deux enfants et l’a épousée en 1995. Mais, quelques mois plus tard, il a été “tué publiquement” à la suite de la parution dans la presse italienne d’une série de clichés où on le voyait en pleins ébats avec une stripteaseuse belge au bord d’une piscine. Jeffrey Wenninger, lui non plus, n’a pas été assassiné, ni pour de vrai ni médiatiquement. Mais en mars 2016, il a connu son quart d’heure de gloire en portant plainte contre Elton John, son ancien employeur. Selon lui, le chanteur l’aurait harcelé sexuellement pendant des années. “Quand nous vous disions que la vie d’un bodyguard n’est pas toujours simple…”, plaisantent nos deux gardes du corps français.

* Les prénoms ont été changés.

Centrafrique : La Garde Rapprochée Russe Du Président Touadéra

Une quarantaine d’éléments des forces spéciales russes ont été affectés à la garde rapprochée du président Faustin-Archange Touadéra. Ils font partie des militaires russes déployés en Centrafrique pour une ” mission de formation et de sécurisation ” dans le cadre d’une livraison d’armes en janvier 2018.

Depuis la mi-mars, des militaires russes assurent la protection rapprochée du président Centrafricain. Il s’agit d’une section de forces spéciales russes assurant la ” première ceinture ” de la garde rapprochée de Faustin-Archange Touadera. ” Nous avons jugé nécessaire de renforcer la sécurité autour du président et les Russes, avec qui nous entamons une coopération militaire, sont les mieux placés “, précise une source proche du président.

L’information est confirmée par le directeur de cabinet du président centrafricain, Firmin Ngrebada qui ajoute que ” ce dispositif vise à renforcer la capacité des forces armées centrafricaines à protéger le président “. Considéré par plusieurs diplomates en poste à Bangui comme ” la main qui a finalisé l’arrivée des Russes dans le pays “, Firmin Ngrabada assure à Jeune Afrique que ” les décisions viennent du président “.

Les Russes devant la Minusca

Les soldats russes ont fait leur première apparition officielle aux côtés du président centrafricain le 30 mars, lors de la célébration des deux années de son quinquennat organisée dans le grand stade de football de Bangui. Depuis la transition avec Catherine Samba-Panza, la sécurité présidentielle était confiée aux Casques bleus rwandais déployés dans le cadre de la Minusca. Désormais, lors des déplacements présidentiels, ce sont les éléments des forces spéciales russes qui ouvrent la voie, devant les Rwandais et les forces centrafricaines.

” Ils travaillent à tous les niveaux et ils sont là pour observer et former la garde présidentielle centrafricaine dans cette tâche “, a déclaré à Jeune Afrique Albert Yaloké-Mokpem, porte-parole de la présidence, qui insiste sur le fait que ce dispositif ” fait partie du package de la formation à l’endroit des forces centrafricaines “.

Mi-décembre, après de longues négociations avec le Conseil de sécurité de l’ONU, la Russie avait été autorisée à livrer un stock d’armement à la Centrafrique. Les autorités russes avaient alors obtenu une exemption à l’embargo sur les armes imposé au pays depuis le début de la crise, en 2013. La première cargaison a été livrée fin janvier.

Craintes de coup d’État

Signe de la nervosité qui s’est emparée alors de Bangui, au lendemain de l’attaque, plusieurs riverains ont assuré à Jeune Afrique avoir vu une colonne de véhicules remplis d’éléments de la garde présidentielle patrouiller dans les environs du palais et de la résidence de Touadéra. Selon nos sources à la présidence, d’autres éléments des forces spéciales russes sont attendus dans les prochains jours en vue de renforcer la sécurité autour du président.

Life Is Strange : The End Of Everything

Chapter Text

Ray se réveilla, complètement abasourdi.Le soleil qui illuminait la cours de l’établissement était déjà bas dans le ciel, et il colorait le paysage d’un orange doux. Il mis quelques longues secondes avant de se rappeler qu’il était en classe et qu’il avait finit le contrôle qui lui servait d’oreiller depuis 45 minutes, il était enfin l’heure de se lever, de rendre cette fichue feuille et de sortir.

Il regardait autour de lui, la salle de français n’avait évidemment pas bouger et la prof, madame McManara, soutient son regard : elle avait l’habitude qu’il finisse les devoirs avant tout le monde sans prendre la peine de se relire, cela lui aurait pourtant permis de grappiller quelques points en plus qu’il jugeait de toute manière inutiles. Peut-être serait-il d’avantage motiver à se relire si il pouvait sortir une fois l’exercice rendu, et qu’il serait autorisé à se rendre à l’entraînement d’Emma qui se déroulait à la même heure cette semaine, mais le règlement à la con de l’établissement ne lui permettait que de taper des siestes monumentales.Quand il se leva pour rendre sa feuille, il savait qu’il n’allait pas y échapper.La majorité des élèves était déjà parti de la salle de classe quand il rendit sa feuille, les quelques autres remballaient leurs affaires dans leurs sacs. La prof de littérature, assise a son bureau, se saisi de sa copie, le visage visiblement agacé.

” Très sérieux de ta part Ray, de ne pas te corriger, tu as fait des fautes là, là et là, tu passe à rien de ton A ” Commenta-elle sarcastiquement, ayant à peine scanné le devoir de regard.

– Tu sais, comme tu fais toujours les mêmes, c’est très facile de repérer tes fautes, alors je ne vais pas te les compter et on vas dire que ça passe. Mais la prochaine fois j’aimerais que tu fasse attention ; tu as un bel avenir devant toi si tu y met d’avantage du tient.– Oui madame, répondit Ray, sur un ton plus ou moins aussi sarcastique.La salle continua de se vider des élèves, indifférents à cette scène devenu habituelle. – D’ailleurs puisqu’on en parle, est ce que tu sais quelle université tu pourrais viser ?

Ouille, sujet sensible.

Ray pris une respiration profonde, Emma s’entraînait sans doute encore et si il se dépêchait d’en finir, il pourrait rejoindre les gradins avant que son équipe ne termine, le tout était de rester calme, rapide, concis. – Ma mère veut que j’aille à New York, et que je tente les concours de Columbia, de Rensselear ou de Cornell.– Pfiou ! Madame McManara laissa échapper un sifflement. Ta mère voit grand pour toi ! Tout le monde ne peut clairement pas se vanter de pouvoir postuler là bas. À part Norman évidemment mais lui, il sera pris d’office partout.

Ray soupira discrètement, il savait qu’il aurait du mérite à entrer dans ces universités, mais la motivation n’était pas là. C’était Isabella qui semblait s’obstiner depuis sa cinquième à vouloir le faire aller à New York, à l’autre bout du pays. Si elle voulait simplement qu’il rejoigne une université prestigieuse, Berkeley en Californie aurait été suffisante, mais Isabella avait cette obsession étrange de le pousser vers la côte Est. Ray et sa mère ne s’accordaient pas sur ce point ; c’était un sujet de conflit régulier parmi beaucoup d’autres.

Il aimerait expliquer à la prof qu’il avait en face, ou à n’importe quel adulte un peu responsable, qu’il souhaiterait rester en Oregon. Ce n’était pas possible car tout se sait très vite sur lui ici, évidemment : il est le fils de la directrice.

– Tu pourrais facilement obtenir une bourse ; c’est largement dans tes cordes, on devrait..– Ouais, excusez-moi mais j’ai plus trop le temps de parler là.

Ray se dépêcha de se jeter dans le couloir avant que madame McManara n’ait le temps de finir sa phrase, non seulement il n’avait pas envie de s’étaler sur le sujet mais il était presque 17h50 et il restait environ 10 minutes à l’entraînement d’Emma, 5 minutes le temps d’arriver aux gradins en marchant à vive allure. Ray essaya de ne pas repenser à l’angoisse des universités, sans réussite. Isabella ne lui laisserait évidemment aucune chance de donner un quelconque avis peut l’importe la hauteur de ses notes ; il l’avait bien compris depuis qu’elle l’avait privé de presque toute sortie, toute distraction, toute activité qui n’était pas en lien avec ses futures bourses ou son bulletin.

Il ne restait à Ray que le loisir d’assister à l’entraînement de Basket d’Emma et sa team, ainsi que la possibilité de rentrer avec elle ou de passer du temps quelques fois avec elle le week-end, en prétextant qu’ils révisaient. Ray aurait aimé assister à ses matchs importants, sortir le week-end ou après les cours avec elle, la laisser conduire jusqu’à la bay ou jusqu’à Portland, peut-être même réussir à amener Norman avec eux.

Ray fit taire immédiatement ces pensés quand il passa à côté des salles d’études rattachées à la bibliothèque, Norman était sans doute là bas si son conducteur personnel n’était pas déjà venu le chercher au parking du lycée. À côté de Norman, Ray n’avait pas le droit de se plaindre, il ne devrait même pas y penser ; il avait encore un peu de liberté.

Ray aperçu immédiatement la tête d’Emma parmi son équipe alors qu’il était encore à une cinquantaine de mètres du terrain : il était si facile de distinguer Emma dans n’importe quelle foule, pas seulement en raison de sa chevelure rousse courte mais également à cause de l’énorme quantité d’énergie qu’elle dégageait. Ray avait deux meilleurs amis qu’il connaissait depuis la maternelle et ces deux amis sont les personnes les plus iconiques et remarqués du lycée, en plus d’être de bons élèves.

Emma et Norman ont grandit pour être visibles, pour être éblouissants, pour devenir physiquement très beaux, pour être des personnes avec qui Ray ne serait sans doute pas devenu ami si ils ne s’étaient connu que au lycée.

Emma courrait vers lui pour se jeter dans ses bras. Tout le monde dans l’équipe et dans le lycée avait l’habitude de ses déclarations d’affections, au point qu’elle pouvait l’enlacer lui ou Norman sans qu’on ne se pose plus de question. De l’extérieur cela renvoyait sans doute l’image d’une manic pixie dream girl qui sortirait avec le mec le plus edgy du lycée.

Ray resta dans les gradins le temps qu’Emma se douche et se change, il en profita pour finir une dissertation à rendre mardi ; si il avait fini ses devoirs pour le week-end, Isabella pourrait l’autoriser à sortir si elle est de bonne humeur. D’autant que samedi soir, Emma partira en rencontre sportive, il est donc très probablement qu’elle le laisse passer du temps avec sa meilleure amie sachant qu’il ne la verrait pas une semaine.Quand il termina le brouillon de la conclusion, Emma sortit du gymnase en première en saluant les autres filles de son équipe et se dépêcha de le rejoindre, joyeuse. Elle avait changé son short de sport pour un short en jean et une chemise verte trop grande pour elle.Voir Emma était toujours quelque chose de positif malgré leur passé conflictuel, sa bonne humeur et son enthousiasme à être avec lui le rendait heureux. Norman aussi, mais Norman était nettement moins présent, y penser faisait mal.

Ce n’était qu’une fois installé au volant et la clef sur le contact de sa vielle voiture qu’Emma reprit la conversation :

Il savait que quand Emma proposait quelque chose ” d’illégal ” ce n’était jamais à proprement parler ” illégal “, c’était surtout en dehors des limites imposées par les adultes qui les entouraient.

– D’ailleurs je n’ai pas fini le brouillon de ma dissertation. Je pourrais solliciter ton aide quand tu rédigeras la tienne ?– Okay mais on fait pas ça chez moi, j’ai pas envie de supporter la présence d’Isabella quand elle rentrera. – Chez moi non plus, mes papas commencent à être un peu lourd quand je parle de toi. Enfin, Lukas ça va, mais Yuugo est vraiment chiant.– Ha ouais, genre il fait quoi ?– Il arrête pas de sous-entendre des trucs, quand j’évoque Norman aussi, mais c’est surtout à propos de toi qu’il est comme ça.– Ha ! Ça y est, il est devenu vieux ? Ce genre de vieux ?– Ouais…– Bon bas on se pose à une table et on fait ça au parc. Après j’en parle à ma mère, je lui ai dit que j’ai fini tous mes devoirs pour la semaine prochaine et on sort chercher Norman vers 23h ?– Surtout on le prévient pas, sans ça il ne voudra jamais sortir.– Je sais je sais, j’ai juste réussi à l’avoir par message aujourd’hui et hier, je ne suis même pas sûr de l’avoir vu de la semaine donc il pourra difficilement refuser.– Ça devrait aller alors.

23h06 s’affichait sur le réveil numérique de Norman quand de petits bruits survinrent à l’une des fenêtres de sa chambre, le sortant de son livre.

L’ambiance dans sa grande chambre et dans tout le reste de la demeure était d’une morosité habituelle, c’est pourquoi lorsqu’il ouvrit sa fenêtre pour y voir ses deux meilleurs amis dans le jardin de son domaine, il ne put se retenir d’éclater de joie silencieusement. Emma secoua son bras droit et Ray avait collecté de petits cailloux dans le creux de sa main.

– Norman ! Vient nous rejoindre, on sort tous les trois ce soir. Déclara Emma

– Si je descends l’escalier, ils ne me laisseront pas sortir. Répondit-il d’un air désolé.– Tu n’as qu’à descendre de ta fenêtre, on va t’aider. Conseilla Ray.

Norman n’était pas rassuré à l’idée de faire le mur et de descendre du premier étage de sa demeure, mais il n’avait pas vu ni Emma ni Ray de la semaine ou de celles qui ont précédé où il avait à peine eu le temps de les croiser. Il enfila ses converses beiges et sorti avec inquiétude par la fenêtre en posant ses pieds sur le perron penché du rez-de-chaussé. Avec un équilibre difficilement atteint, il rejoignit lentement Emma et Ray qui lui tendaient leurs bras pour le laisser descendre en sécurité. Une fois qu’il eut rejoint la terre ferme il décampa avec ses deux amis pour atteindre la voiture d’Emma, garé discrètement quelques rues plus loin.

Ils éclatèrent de rire tous les trois quand ils furent sur la route.

Le ton de Ray se voulait rassurant, et ça marchait. Une musique des années 80 sortait de la radio de la voiture, sans doute un disque des papas d’Emma, l’air de la nuit se faisait sentir par les vitres baissées.Ray pensait reconnaître la chanson ” Boys don’t cry ” mais ne se souvenait plus du groupe qui la chantait. Norman, à l’arrière avec Ray, respira tranquillement la tête posée sur l’épaule de son ami. Dans un soupir, Norman fit cette déclaration posément : – C’est bon de vous retrouver.

Emma avait conduit un moment jusqu’à un domaine isolé au bord de l’océan, cerné par les arbres et loin de la ville. Le ciel était dégagé et on distinguait très clairement les étoiles. Ray regarda autour de lui ; même si il n’y avait pas grand-chose à faire dans la campagne de l’Oregon, Emma était douée pour trouver les meilleurs spot et peut l’importe que ce soit au milieu de nulle part, Emma saurait rendre ces moments mémorables. Ray regardait également Norman sortir de la voiture et rejoindre Emma, son habituel sourire admiratif devant elle, ces deux-là avaient dû se manquer.

Une chouette vola silencieusement au-dessus de leur tête avant de se poser sur un arbre en contrebas, Ray la remarqua et observa les environs : il n’avait pas plu depuis plusieurs jours et trouver du bois sec ne serait pas compliqué.

En ramassant des branches il observa Norman et Emma une dizaine de mètres plus loin et décida qu’il était temps de les laisser entre eux. Bien sûr que Norman lui avait manqué et qu’il était heureux de revoir Emma autrement que pour les trajets du lycée et les devoirs, mais il avait de plus en plus l’impression de déranger quand il était avec Emma et Norman comme s’il était de trop.

C’était plus fort que lui, il savait que Norman répondait plus vite aux messages d’Emma, qu’il était plus réactif face à elle, qu’il la suivrait partout et qu’il s’arrangeait toujours de manière générale pour être près d’elle, pour être à côté d’elle. Ray le savait depuis longtemps et Emma le savait sans doute aussi, même si de l’extérieur elle pouvait paraître naïve, elle était largement assez intelligente pour connaître les sentiments de Norman à son égard et elle semblait choisir sciemment de les ignorer. Les Ratri représentaient certainement le grand obstacle face à leur relation et comme souvent, Ray n’avait pas été mis au courant.

En conclusion, lorsqu’il était avec Emma il était heureux, mais Norman lui manquait. Les rares fois où il voyait Norman il était également heureux, mais c’était l’absence d’Emma qui créait un vide. Enfin lorsqu’ils étaient tous les trois réunis, il avait l’impression que sa compagnie gênait, qu’Emma et Norman seraient mieux sans lui.

Il chassa rapidement l’amertume qui commença à s’emparer de lui : ce soir, ils étaient tous les trois et il allait profiter de la soirée, avoir le cœur serré n’était pas une option.

Le feu était parti vite, la mer était basse et ils s’étaient tous les trois accroupis sur le sable, Emma entre Norman et Ray comme souvent. Elle sortit des cannettes de Sprite de son sac et un paquet de Marshmallow.

– Tu as 10 ans ou quoi ? Se moqua Ray.– Tait-toi un peu Ray !

Norman saisi une branche pour y planter un bonbon et la passa à Ray avec son habituel sourire calme.

– Dans un an et demi, on sera tous les trois séparés après le lycée, poursuivi Emma. Je sais que de toutes façons on connaîtra d’autres gens et qu’on passera à autre chose, mais je ne veux pas laisser tout ce qu’on a fait ensemble derrière, déjà qu’on ne se voit presque plus tous les trois depuis qu’on est entré en seconde.– Et encore j’ai eu de la chance de ne pas être envoyé dans un pensionnat suisse. Ajouta Norman.– Rappelle moi dans quelle université tu vas être placé ? Demanda Ray.– Ce n’est pas encore défini, si je reste aux États-unis, c’est Columbia, sinon c’est Oxford en Angleterre.– Ils ne lésinent pas sur les moyens les Ratri.– Ray, si tu te motives un peu plus tu pourrais aller à Columbia aussi, et on serait peut-être dans la même fac !– J’y ai pensé, mais je n’ai pas d’affinité particulière à Columbia.– C’est tellement prestigieux, si j’en avais les moyens, j’aurais été tellement fière d’entrer dans une université pareille. Déclara Emma, admirative.– Toi aussi tu serais capable d’y entrer Emma ! Affirma Norman. Tu es douée et même si tu n’es pas toujours très bien adaptée au système scolaire, tu te débrouilles assez bien pour être capable de décrocher une bourse.– Tu exagères, je vous dois beaucoup.– Norman a carrément raison, en plus si j’avais la perspective de vous retrouver tous les deux à l’université, je serais beaucoup plus motivé à entrer à Columbia ou une de ces merdes. Expliqua Ray.– Haha, ça parle tellement maaal. Bon je vais en parler à Lukas et Yugo, mais vous leurrez pas, je vais probablement aller à Portland et ça sera très bien.– Si Isabella était pas si obsédée, Portland m’irais aussi.– C’est vrai qu’il y a ta mère, se rappela tristement Emma.– Avant la disparition de son compagnon, elle était pas aussi sévère si je me souviens Ray ?– C’est vrai que ça a pas mal foutu la merde, j’ai pensé qu’il l’avait juste ghosté mais ça lui ressemblait pas.– Ouais il a disparu d’un coup, on trouve encore quelques affiches de recherche en ville quand on regarde bien. Se souvint Emma– Quand on était petit, elle était pas aussi froide et ma famille était pas aussi imposante et exigeante. Je t’envie quand même Ray.– Tu n’as pas besoin de me le rappeler, ça je sais !

– Mince, le feu faiblit !Ne bougez pas les gars, je vais chercher du bois et je reviens.– T’es sûre ? Fait attention, ça pourrait être dangereux…– T’inquiète pas Norman, ça sera pas long.

Emma s’était déjà éloigné, sa silhouette était à peine perceptible dans l’obscurité de la plage.

Norman soupira, assis la tête posée sur les genoux, il semblait mélancolique, ailleurs.

– Tu sais, je sais pas si tu peux être plus transparent que ça avec Emma.– Quoi ? Ha c’est vrai, Ray, toi tu sais toujours tout.– Noman ! Je te connais et ça fait plusieurs années que ton crush est là. Quand on avait 8 ans tu m’a déclaré que j’avais pas le droit de tomber amoureux d’Emma car tu allais te marier avec elle plus tard.– Haha, ho je m’en souviens, c’est gênant.– Tu lui a dit au moins ? C’est les projets de ta famille qui t’en empêche ?

Norman ne répondit pas.

Ray se redressa et se rapprocha un peu plus de Norman. Il savait que c’était dur mais il fallait qu’il pousse Norman a en parler un jour ou l’autre ; lui et Emma avaient la fâcheuse tendance à étouffer leurs émotions et c’était souvent à Ray de les obliger à s’ouvrir. Norman devait énormément souffrir de la situation, et ce depuis longtemps.

– Je suis sûr que ça t’étouffe, tu peux m’en parler Norman, ne t’inquiète pas.

Ray passa le bras dans le dos de Norman, il avait appris à être plus empathique depuis que Norman l’avait confronté une fois en quatrième après que ses taquineries envers Emma aient été trop loin à son goût.

– C’est gentil mais Emma et moi, on en a déjà parlé. On ne va pas pouvoir être ensemble pour les raisons évidentes, donc même si on était un couple, on devra se séparer tous les trois après la terminale de toute façon.

Il y eut un autre silence pendant lequel Norman regarda dans le vide devant lui, la lueur rouge du feu se dessinant sur ses traits angéliques.

– Toi Ray, tu pense que je n’ai que Emma en tête hein !– ?.. Bas, ça me semble évident que oui.

Norman avait ce sourire mystérieux, celui qu’il réservait à Emma depuis leur plus jeune age et, plus rarement, à Ray. Ses yeux bleus étaient emprunts d’une mélancolie mélangé d’une malice qu’il connaissait par cœur, combien de fois les avait-il contemplé ?Puis sans prévenir, Norman réduisit ce qu’il restait de distance entre eux pour embrasser Ray.

Le baisé ne dura que deux secondes et paru très sage. Le regard de Norman vers Ray après cet instant fut mis amusé mis suffisant. Ray qui affichait sans doute l’expression la plus surprise de sa vie, avait du mal à se remettre de ce qui venait de se passer.Norman venait de l’embrasser.Norman, qui était amoureux d’Emma depuis la primaire, peut-être bien avant, l’a embrassé comme l’adolescent qu’il était.À cet instant, il n’était pas un Ratri, il n’était pas le jeune homme modèle, bien habillé, poli et populaire ; il pouvait se permettre, à cet instant, d’être un garçon de 16 ans.

– Tu es chou Ray, tu fait comme si tu était Edgy et imperturbable, mais ça, tu ne t’y attendait pas.

Ray se ravisait vite et sourit de façon revêche à son ami. Il s’apprêtait à le remettre à sa place pour effacer son embarras qui en réalité, lui donnait envie de se cacher dix pieds sous terre.Seulement, il aperçut la silhouette d’Emma qui courait vers eux, affolée, voir paniquée. Ray oublia aussitôt qu’il avait simultanément envie de disparaître et de rembarrer Norman.

– Emma !Ray se dépêcha de la rejoindre suivit de Norman, réactif.– Les voitures des Ratri se sont garé pas loin, je crois qu’ils cherchent Norman !– Merde ! Comment ils ont fait pour me retrouver ici ?Oh ne vous inquiétez pas tous les deux, ils ne se passera rien pour vous mais moi je vais me prendre un savon.– Norman ! Ils ne m’ont pas vu mais ils avaient des genre de fusils d’assauts– Emma Emma ! Tu es sûr de ce que tu as vu ? Les Ratri vont pas utiliser ça pour Ramener Norman.– Aïe, ce n’est pas bon ça.

Des lueurs de lampes torches se faisaient voir à l’entrée de la plage.

– Restez derrière moi tous les deux et tout se passera bien, okay ? Affirma Norman, le regard aussi posé et rassurant qu’il était capable de donner tandis que Ray et Emma affichaient des visages désemparés, perdus et inquiets.Les lueurs étaient maintenant en face d’eux trois et les éblouissaient violemment, ils étaient capable de distinguer des hommes équipés avec des tenus de protections et des gilets par balles. Ils pensaient que Norman s’était fait enlever ou quoi ?

– Laisser partir Norman Ratri et rien ne vous sera fait ce soir ! Hurla une voix autoritaire et intimidante.– Tout vas bien les gars, je suis juste sortie avec mes amis, personne ne me menace et je vais rentrer, d’accord.

Ray et Emma avaient en face d’eux un visage qu’il connaissait bien de Norman, mais qu’ils ont peu eux l’occasion de rencontrer ; quelqu’un d’imposant, d’intimidant, une force tranquille qu’on ne souhaiterait pas froisser. Son charisme avait quelque chose de fascinant, reposant et inquiétant en même temps et lorsqu’il se montrait sous ce jour, ça voulait dire que la tempête arrivait.

– Norman !!! Emma tenta d’avancer compulsivement mais Ray qui lui tenait déjà le poignet, l’en empêcha en mettant son autre bras autour de ses épaules. Ils devaient bien voir qu’ils étaient sans défense et tous ces moyens paraissaient plus qu’excessifs.

– Alors maintenant vous allez tous reculer ! Et je vais vous rejoindre, et vous baisserez ces trucs de mes amis, d’accord ? Fit posément Norman, de sa voix persuasive et calme, montrant qu’il savait ce qu’il faisait, que chacun de ses gestes était calculé au millimètre. Les hommes s’exécutèrent et Norman les suivaient vers l’endroit d’où ils étaient arrivés, comme si Norman les commandait simplement, la tension semblait parti.

Norman se retourna cependant vers Ray et Emma, toujours stupéfaient, et déclara :– Je crois qu’il vas falloir interrompre notre soirée, merci beaucoup, Ray, Emma. Ça a été vraiment bien de passer une dernière soirée avec vous.

– Ne vous laisser pas dominer par sa capacité, il est dangereux ! Cracha une voix au centre du groupe.

Un bruit de flingue sous silencieux retenti et Norman reçu dans le cou ce qui ressemblait à une seringue minuscule.Les hommes qui lui avait jusque là obéit semblaient revenir à eux et commencèrent à se jeter sur lui.

– NORMAN !!C’en était trop pour Ray et Emma qui, pris de panique pour leur ami, se précipitèrent à l’unissons vers lui. Ils n’eurent pas le temps de faire un mètre que leurs jambes s’arrêtèrent nettes au moment où Norman prononça ces mots : ” Ne bouger pas ! “

Paralysés et plus confus que jamais, Ray et Emma ne purent remettre en place dans leurs tête ce qu’il se passait sous leurs yeux quand en face d’eux, leur ami qui était brutalement immobilisé par quatre homme et de plus en plus inconscient, leur cria :

” Courez ! Aller à la voiture et rentrer chez vous en sécurité, maintenant !!! “

Quand Norman tomba dans les pommes et fut emporté par les hommes qui hurlaient des ordres, Ray et Emma prenaient leurs jambes à leurs cou, sans que ni l’un ni l’autre ne sache pourquoi ils faisaient ça.

Le reste de la soirée se passa dans un brouillard total.

Lyrics Touche Pas À Mon Globo Songs About Touche Pas À Mon Globo Lyrics

… à une erreur Touche pas à mon globo Danger Malabar T’es Beaujolais novo Bogarte les berlingots J’les ai eu en retard J’reste en phares Touche pas à mon globo Danger Malabar T’es Beaujolais novo no no no Touche pas à mon globo Danger Malabar …

… à une erreur Touche pas à mon globo Danger Malabar T’es Beaujolais novo Bogarte les berlingots J’les ai eu en retard J’reste en phares Touche pas à mon globo Danger Malabar T’es Beaujolais novo no no no Touche pas à mon globo Danger Malabar …

… , des gros gugus un peu cramés, brulant , bouillant . Enfin Bref dégoutant ! Mais s’il continue à toucher à mon école Le président à la casserole . Mais s’il continue à toucher à notre école Le président à la casserole . (- …

… piquer l’emploi d’un miséreux Je suis peut-être chômeur mais grand seigneur Pour deux T’as pas tort mon ange Mais avec des idées tout s’arrange Téléphone à ta maman, envoie-lui des fleurs Elle a …

… amour je t?aime Et tout ça me perdra Toi mon amour tu m?aimes Mais tu ne me touches pas Toi mon amour je t?aime Mais la chambre est d?un froid Moi mon amour j?en saigne Lorsque tu me dis à mi …

… j’tape un footing la foule me salue comme Balboa Rocky j’suis aimé t’es qui tu touche pas une quille J’suis plus dangereux qu’toi-même plâtré avec des béquilles (Refrain) Idiot cesse …

… passe la nuit Et je me sens bien Et même si c’est louche On ne touche pas à nos bouches Et c’est déjà demain Est-ce qu’on s’aime? Ou est-ce qu’ …

… qui peut arriver Quand on a une fille comme ça On ne la lâche plus d’un pasTouche du bois, te plains pas, mon gars ! Touche du bois, au milieu de la foule Y a encore un peu d’ place pour marcher Ta voiture …

… cet air là qui me rappelle autrefois Oublie le s’il le faut ne touche pas à ce piano Oh, non, ne le joue pas mon coeur n’y tiendrait pas De l’entendre, je le sais je me souviendrais qu’elle disait, disait Toi …